BONA SAWA

BONA SAWA

IL ETAIT UNE FOIS, LES MALIMBA : un groupe .....??

La généalogie des Limba

Malimba, Ilimbè, Balimba, Mulimba, Idimbè

Un autre regard sur l'escroquerie historiographique

 

Généalogie Malimba établie par Paul Metusala Dikobè, analysée par celle qu'on a envoyé créer son propre site à défaut de tolérer des bobards.

 

 

Les intensions de celui qui a établit cette généalogie sont résumées dans sa disposition même. Son auteur, Paul Metusala Dikobè reconnaît être un apprenti en Histoire Sawa, pourtant 'Grand Dikobè' accroche sa veste bien trop haut à mon humble avis. L'Histoire et l'anthropologie ne saurait être délaissées entre des mains d'apprentis, qui de surcroît ont le culot de prétendre que des anthropologues reconnus n'écrivent que des âneries.

 

Déjà qu' en Afrique, beaucoup de sociétés traditionnelles étaient matrilinéaires. Aucune femme ne figure dans la généalogie des Malimba, cette exclusion est volontaire.

 

Un arbre généalogique a plutôt une forme pyramidale, comme chez nos ancêtres égyptiens, Λ , mais là, en a une forme de croix :

 

La croix met  l'accent sur le côté catholique  de Dikobè Metusala, l'homme ( ?) qui est l'auteur de cette généalogie anti-africaine.

( ?) : homme qui s'est souvent fait passer pour une femme, sans doute, comme l'a d'ailleurs avoué une de ces proches […].

 

Le christianisme n'est pas la religion que pratiquaient ces gens, loin de là. Soulignons aussi l'absence de date ou de repère chronologique.

 

  • Il s'agit de Ilimbè qui remarquons le déjà, est parfaitement au centre de la croix.

La tête de la croix contient 3 noms : arrière grand père, grand père et père, l'exclusion des femmes est volontaire, et obscurantiste, car il compte falsifier l'histoire. Il s'agit de la descendance d'Ilimbè, les frères à la limite doivent être en parenthèse, mais la mention de la mère de cette lignée s'impose catégoriquement. Déjà qu'il ne mentionne pas qui est la mère d'Ilimbè, qu'il n'ignore pourtant pas. Cette omission est volontaire, malgré de droit de savoir.

 

La descendance d'Ilimbè qui s'évalue aujourd'hui à environ 4000 personnes, au fil du temps, et «  les malimba ont accueillit de nombreux peuples qu'ils ont assimilés » (dikobè, pps.com, 2006). Lui qui veut renvoyer à chacun son village, pourquoi ne s'interroge t il pas sur ce qui a poussé ces peuples à laisser assimiler par les malimba, et de quels peuples parle t -il ? Et à quel moment situe t il leur assimilation par les malimba ? Pour des gens qui ont accueillit de nombreux peuples, 4000 me semble bien mince, comme effectif total, ce qui explique peut être l'obsession de certains à vouloir morceler et émietter les entités voisines : convoitise, quand tu nous tiens ! 

 

Toutes ces 4000 têtes trouvent sans doute leur ancêtre parmi les fils uniques mentionnés dans cet arbre généalogique déféminisé, comme dit Manjombè-Dikobè « sortie de la cuisse de Jupiter ». On a vraiment l'impression que ce sont des parfaits tombés du ciel, d'où l'obsession de se béatifier à tout prix et de conter son histoire en hagiographie.

 

  Coquine Dikobè la myso, mais pire qu'une vrai nyango ( heureusement qu'on distingue toujours l'original de la copie), je te retourne l'allusion  «As-tu une quelconque honte à être né d'une mère, une femme, un "être inférieur "? Regarde autour de toi, dans tout le monde entier, tous les êtres humains sont aussi nés, et ont des mères». Pas la peine donc d'aller farfouiller dans la mytho-logie/manie grecque.

 

Non pas que ce soit problématique en soi qu'il n'y ait que des Hommes cités dans la généalogie Malimba, ce n'est pas forcément un signe de misogynie (voire plus) chez ce groupe. Les anglais n'ont pourtant pas inventé le système des princes "consort", et ce ne sont d'ailleurs pas les gens eux mêmes qui choisissaient leur épouse. Les aînés, basango ba mboa, notamment les premiers nés, étaient là pour "aranger les mariages" [...].

 

Dikobè, PPS.com, 2006 : " les femmes malimba sont de très bonnes épouses [censure]..." 

 

De très très bonnes épouses même, ce qui explique certainement qu'on les ait zappé complètement de la sorte dans la généalogie et l'histoire malimba, en gros elles comptent pour du beurre. Sympa !  Coucou les Ilimboises, montrez vous donc ! pourquoi vous cache t on ? Que nous cache t on en taisant votre identité. La lignée Malimba serait donc essentiellement masculine ? Tiens donc ! Vous comprennez ça vous ? Hum, en tout cas c'est toujours bon à savoir....

Ce type prend ses obsedantes volontés pour des réalités.

 

 

Pourtant beaucoup de femmes sont des ancêtres éponymes en Afrique, au même titre que des Hommes, sans inférioriser personne, ou considérer que ceux donc les éponymes sont féminins doivent être relayés au second plan, c'est une injure au monde tout entier, à toute l'humanité. 

 

Pourquoi ne mentionne t-on donc pas la dénommée Ngas'a Mbongo dans cette généalogie d'Ilimbè ? Sans doute pour ne pas nous dire qui elle représente pour Ilimb' a Mbèd'a Mbongo  . Et pourquoi ce silence lourd face à la judicieuse question " Qui était l'épouse d' Ilimbè" ?

 

  • Au niveau d'Ilimbè, on retrouve le même chiffre 3. Avec Ilimbè au centre.

Etant donné que la famille s'agrandit avec le temps, l'arbre devrait être évasé plus on descend. Parmi les quatre opérations mathématiques basiques : addition, soustraction, division, multiplication. Seule la multiplication permet d'augmenter de façon considérable, plus encore que l'addition. La multiplication est souvent opposé à la division (pire ennemi d'un peuple) : un peuple divisé n'est pas uni !

 

C'est donc tout naturellement qu'on parle de multiplication pour signifier l'augmentation du nombre de personne. Ce qui nous ramène à cette généalogie.  En multipliant le 3 de la tête de croix avec le 3 du niveau d'Ilimbè, on obtient le chiffre 9.

 

Contrairement à cette croix ci   † ,  la croix est le symbole de la multiplication : х . Ce que je pourrais appeler le « centromère » de cette croix, représente la personne dont il est question, évasée de part et d'autre du protagoniste, autant de gens dans les générations ascendantes que descendantes, en considérant la famille nucléaire de celui dont il est question dans la généalogie, qui a plutôt cette forme ci : Λ. Au niveau d'Ilimbè, la famille semble plus prolifique, plus large, mais à la génération suivante, tout régresse brutalement, et se limite à un seul nom, chacun étant solitaire. Il y a des signes qui ne trompent pas, il suffit de faire un petit effort, avec de la bonne volonté et sans mauvaise foi.

 

Chez nous le chiffre 9 a une importance fondamentale, y compris pour les décès, on fait une neuvaine. La croix peut aussi signifier une barrière, le 'ndimsi' des blancs a voulu que des croix soient mises sur les tombes des Africains chrétiens par exemple, comme barrière( ?) entre le monde des vivants et celui des morts ? Sait on jamais…

 

 

On retrouve par ailleurs 9 noms cités sous Ilimbè. Ceux qui savent les raisons pour lesquelles on attend 9 jours pour les décès , prière d'analyser cet arbre généalogique cruciforme de façon attentive, lisez entre les lignes, quelqu'un qui sait ne peut pas volontairement se conduire en ignorant, aveugle.

 

 

  • Revenons autour d'Ilimbè, qui je le repète est sur une ligne de 3.

 Les frères d'Ilimbè devraient être répartis de part et d'autre de ce dernier, de façon plus équilibrée. Mais on constate que déjà il n' y a que 3 cases, de façon à bien proportionner la croix, un 'frère d'Ilimbè' est seul d'un côté, explicitement nommé, isolé dans une case à lui, autonome, du côté GAUCHE, et les autres frères d'Ilimbè sont regroupés tous ensembles dans une case, au côté DROIT, non autonomes, n'existant que sur une identité subordonnée, en effet ils ne sont rien en eux mêmes, ils n'existent qu'en tant que  "frère de… ".

 

 

Dire que quelqu'un est à votre droite, c'est dire que la personne vous soutiens dans vos combats… tout comme on parle souvent de « bras droit » pour désigner quelqu'un qui est votre principal agent exécution, qui fait ce que vous dites, mais on peut entendre exécution autrement aussi.

 

Chacun des côtés de la croix chrétienne représente un bras de Jésus, et le christianisme dit « Jésus s'est assis à la Droite de Dieu, le père tout puissant ». La droite évoque une certaine proximité. Par ailleurs, dans la culture africaine, la gauche symbolise souvent la féminité ou plutôt le côté maternel, et la droite le côté paternel.

 

Le personnage central étant Ilimbè, pourquoi ne pas dire « les frères d'Ilimbè » ? On dit plutôt ici les frères d'Ewalè, celui qu'on a délibérément isolé à gauche. Qui sont donc ces prétendus frères d'Ewalè ? Et combien sont ils ? Dans quel ordre sont ils rangés et selon quels critères ? Compte t on se servir d'eux comme bras droits ? C'est à dire agent d'exécution ? N'aurait il pas été plus judicieux, plus juste de dire les frères d'Ilimbè ? Tous les frères d'Ilimbè ?  

 

 

Comme dit Dikobè, un muboledi apprenti en histoire des sawa : Ilimbè est le premier fils, et Ewalè le dernier fils. Si on veut même il est né 100 ans après ses frères, quand ses parents étaient déjà morts, comme j'ai pu lire, tout est bon à dire pour faire l'intéressant. Et vu ses racontards sur notre langue, c'est à croire que chacun des frères avait une langue différente, logique biensur.

 

Bébé : donnez lui le droit de pleurer

J'imagine que je viens dans une maison, je vois un grande personne, donc à priori l'aîné,

 sango'a mboa, assis au centre, avec à sa droite une multitude de personnes, tout aussi grandes,  mais moins que lui, je vois aussi isolée à sa gauche une seule personne, plus petite que tout le reste, donc cadette, enfant. Je questionne la personne qui est au centre :  " qui sont ceux qui t'entourent ? "

Ce dernier désigne tous ces bras droits et pointe l'isolé à gauche «  ce sont SES frères ».

 

Ce ne sont pas tes frères aussi à toi qui es au centre ? Alors pourquoi ne pas dire simplement : je suis entouré de mes frères ? Ce sont tous mes frères, sans afficher une ségrégation aussi flagrante ... Ça en dit long…

 

 

Vous Douala avez bien vu que les étrangers comptent beaucoup plus que vous à leur yeux, et du coup vous êtes faits étrangers : « quand il s'agit de d'autres africains.. » Les qui ? Pourquoi pas quand il s'agit de d'autres 'Mbèdi' ? Eladingom ! « Eladingom e lali nde ngomo ».

 

Si on demande au diable pourquoi il a été chassé du paradis, il aura sa version à lui, car il faut bien qu'il justifie le fait qu'il ne cesse d'attenter contre la sainteté et la pureté de Dieu, et qu'il veuille à tout prix détruire sa création.

 

Souvenez vous, Dikobè écrivait son forum 'moukata', sous le pseudo Wole : « Mon but n'est pas la marginalisation d'Ewalè», en proclamant que l'initiative de ce texte allait dans le bon sens.

 

Si Dikobè ! Justement, ton attitude mime la marginalisation  orchestrée des Douala au sein de la côte et du Cameroun tout entier. Dans ton texte écrit sous ton nom Moukata, tu regroupais déjà tous "les frères d'Ewalè" au côté d'un obscur bakoko, c'est à dire toi, en isolant les Douala, seuls sous les cribles de ta rage. On a pu voir surgir des défenseurs de tous les  descendants de Mbèdi, y compris Bakoko ba Mbèdi na Mbo ya Mbèdi, mais c'était uniquement pour achever le travail de haine que tu avait amorcé, sans surprise aucune, quand on se base sur son vécu, on ne peut que s'y attendre.

 

 

Certains signes ne trompent pas ! Mais la providence existe, et la nature viendra toujours au secours des 'plus faibles', des isolés, des marginalisés. Bosadi bo titi diboa. Moto  ma taka nde ke a ma boa, eboki e titi pe to malebo. Lo si bwa ngudi bongo, ngum te e ma timba ko bunya mene, nika e si m'eka na a teme pe te !!! A bon entendeur !

 

 

  •  J'avais écrit à au forum 'moukata' de pps que « la tombe d'un ancêtre profané signifie l'assassinat de sa descendance toute entière »

 

Il y a toujours cette escroquerie, faire croire aux gens que ce sont eux-mêmes qui se suicident, alors qu'on met sur pied toute une machination sordide, on invente des douala imaginaires, qu'on dote d'une étonnante haine envers leur peuple, et après on se met à dire « c'est un douala qui a dit ceci, c'est un douala même qui a dit cela ».  Et on se sert de quelques venduEs.

 

 Il est donc inutile de pretexter des disputes anciennes au sein de ce peuple pour justifier la guerre vous lui menez, un peu comme les colons parlent de guerres inter-africaines pour justifier  l'oppression. Inutile de vous servir de quelque cervelle de poisson, incapable d'avoir un esprit critique, pour plonger tout le monde au gouffre.

 

Je ne dis pas qu'il n y a jamais eu de disputes  entre membres de ce peule, mais que malgré les problèmes qu' il y a eu, les gens vont mieux, on est passé à autre chose.  Cessez d'utiliser de faux prétexte, bande de haineux et convoiteurs. Il ne suffit pas de jamais tomber malade, c'est quand on a jamais affronté une maladie qu'on a peur, mais quand on a déjà eu à guerrir de cette, on est plus serein. C'est tout bête, c'est le principe même de la vaccination. 

 

Donc à vous qui croyez pouvoir réactualiser des conflits passés au sein de ce peuple,  pour parvenir à on ne sait quoi, je vous dis que je suis contente de savoir que nous avons eu ces conflits, tout les peuples en ont connu. Et c'est le fait d'avoir transcendé tout cela qui dote chacun d'un altruisme fort, au de là des divergences bénignes. Donc Dikobè qui prend toujours des identités Douala pour s'attaquer à ce peuple, croyant ainsi pouvoir altérer  l'attachement de chacun à son peuple perd son temps !  

 

 

 Bref : " Nga Bonanjo ba dingèlè Akwa, nga Bonaku ba tanganè Deido, nika nyèsè nye nde miango ma kwang, ponda nika e tombi" , on a à faire face à des difficultés plus graves que celles des temps anciens. C'est pourquoi nous avons tout à gagner en restant solidaires et indivisibles. Les tribus toxiques sont bien connues, ignorons les simplement et leur haines les étouffera. 

 

Ils seront encore plus mal de savoir que leurs tentatives de nous diviser  ont plutôt provoquées une vague de solidarité, de rapprochement, d'entente, de paix, de prise de consciense, d'entraide, de synergie entre nous.

 

Les groupuscules jaloux, plutôt que de se distinguer pas des actes de bravoures, parasitent ce grand peuple, un des peuples clé du Grand Sawa et même du Cameroun, ils essayent de le morceller et de le défigurer coûte que coûte pour on ne sait quel finalité : vous avez tapé à côté cette fois ci, nous veillons. Ce n'est pas de la sorte que vous redonnerez à notre peuple Sawa ses lettres de noblesse. Quand vous faites le bilan des guerres anti douala que beaucoup ont mené et continue de mener, vous n'osez même pas vous poser la question de savoir à qui ces guerres ont profité, et continuent de profiter, vous vous en mordrez les doigts !

 

 

Je pense donc qu'il ne faut jamais cesser de combattre l'injustice où on la trouve, sans pour autant être anachronique. Certes la vengeance est un plat qui se mange froid, mais je préfère la justice que la vengeance, fusse cette justice très sévère, c'est pourquoi je n'écrirai pas à mon tour : «  vos ancêtres seront éternellement maudis » comme j'ai lire  de la part d'un balimba –bakoko, s'adressant aux douala, et ayant camouflé son identité  (une injustice faite à ceux pour qui il 'est fait passer, qu'il faut réparer). Je continue de respecter la mémoire de vos ancêtres à vous.

 

 

  •  Ceci dit, si vous voyez votre frère tenter d'assassiner vos parents, vous ne pouvez pas ne pas réagir et dire «  de toute façon  c'est son propre enfant ».  

 

Devant un juge,  si quelqu'un a essayé de vous tirer dessus et que vous avez tiré avant, on ne vous condamnera pas pour cette légitime défense. Mais si au moment où les combats sont finis, la paix, toujours la paix et encore la paix a été proclamée, vous et votre esprit vindicatif, animé par des frustrations enfuies à cause de vos échecs, venez tenter d'abattre dans le dos vos anciens adversaires, on vous condamnera pour tentative de meurtre.

 

Car voyez vous la justice voudra que celui qui a tué (en se défendant légitimement) ne soit pas condamné, et celui qui a tenté de tué (même s'il n'a pas réussi) soit condamné. Vous savez tous que le temps (voire l'anachronisme) a une importance catégorique dans la justice. C'est pourquoi dans la Religion, la justice est toujours dite éternelle, perpétuelle…

 

  • La non mention de date est donc une autre sournoise à peine voilée.

Cette généalogie mime les intentions de son auteur : Lo si m'ene te ke lo si ma pula nde. Tout est résumé dans ce simple arbre cruciforme . Je ne vais pas m'attarder sur tout ce que symbolise l'arbre chez nous, ou le végétal en général, Bwele est un arbre, qui est d'ailleurs aussi un nom éponyme sawa, vous comprendrez donc que les pseudo que Dikobè se donne ne sont pas pris au hasard.

 

Personne n'est détenteur de vérité absolu, raison pour la quelle les méthodes peu démocratiques qu'utilisent certains (pps) pour imposer leur vision des choses sont assez malsaines. Si des gens ce sont battus, et que vous conter ces combats, la partialité excessive et les mensonges volontaires ne risquent ils pas de discréditer votre propos ?

 

Soit les guerres continuent sachant où elles mèneront, soit on juge de façon moins partiale, sans parti pris, compte tenu du point de vue de chacun, dans le but de pacifier.

 

 

 Alors les guerriers entêtés sawa : Si les vôtres ne vous disent pas que vous abusez un peu trop, que votre haine est disproportionnée et injustifiable, rien ne m'empêchera de faire comprendre à ceux qui sont sur l'œil de votre fusil qu'il faut qu'ils prennent garde à eux : Lo nongo ponda  eeeeeeeeeeeeeeeeeee !  To nika moto a titino mutoped'a mudi o mboa'o. Binyo ba Yesu : bona nyango ba Yosef nde ba ta ba pimba mo dikundu, na babo ba nongo moni. Kain pe a bo muna nyango Abel.

 

 

L'idéal serait que tous les êtres Humains soient solidaires et en paix entre eux, car nous sommes de la même espèce, mais il ne faut pas trop rêver non plus, surtout nous les noirs, notamment d'Afrique, berceau de l'Humanité. Ses habitants, premiers humains de la terre en sont arrivés à devoir justifier leur appartenance à l'espèce humaine. L'Hisoire orale n'est pas plus propice à la falsification que l'Histoire écrite, contrairement à ce qu'on croit, l'Egypte était une civilisation écrite, ça n'a pas empêché la falsification de l'Histoire. Tout est dans les intentions des vecteurs  d'histoire. Ce n'est pas du jour au lendemain qu'on a destitué totalement son peuple de toute sa culture, son savoir, ses inventions, tout se fait par processus, en crescendo, réfléchissez-y bien.

 

 

 Mais les borgnes ayant toujours régnés en terre aveugle… Comprenne qui pourra ! Mba na elalingom nde e lali ngomo.

 

 

On ne peut pas vouloir une chose et son contraire à la fois, l'obsession qu'on certains à vouloir à tout prix rendre étranger, ou étrangiser les douala au sein des sawa est assez  génocidaire en elle même et à long terme si les choses continuent dans cette voix, les retombées négatives secoueront définitivement cette côte, comme c'est entrain d'être le cas.

 

 

Dikobè, dans ta généalogie Balimba qui isole certains, tu n'es pas sans savoir les fruits de tes semences : dit en toute lettre ton rejet définitif d'une des entités sawa, sans passer par des manigances comme celles là.

 

Soit on est un même peuple, soit on ne l'est pas, pas la peine de mimer un semblant d'unité dans les feuilles de route, ou de parler comme l'autre qui se reconnaîtra «  musango mwa bambabè », l'hypocrisie est ancrée en certains au point de les aveugler. Quand tu donnes un coup de pied sur la ruche, avant de te réjouir d'avoir fait des abeilles des « sans logis », réfléchit à la réaction de ces dernières vis-à-vis de toi : o si mana, nd'o tondo bewenji ? Ewanje ! O si bèn nginya, nd'o saka bila? Dikobè ! 

 

Pourquoi vouloir tuer le grand Sawa de cette façon, et après venir mendier l'affection en itued'a muna mulimba ? Dikobè que veux tu ? Une chose et son contraire !

 

 

Toute tentative de pacification de notre part est tout de suite détournée en aveu  de tort, et en justification de votre haine, votre orgueil surdimensionné vous empêchant de faire un moindre mea culpa. Je ne dis pas que les torts sont exclusivement de votre côté, les querelles ne dureraient pas aussi longtemps si les torts n'étaient que d'un côté, par conséquent les concessions n'ont pas à venir uniquement de nous.

 

La mistinguette Ndedi qui parlait de la religion la plus sévère qui sait quand même promettre un paradis, a oublié de mentionner que cette religion là réclame aussi toute une vie de louange et de reconnaissance, des demandes de pardons, des confessions, des périodes de jeûne,  des sacrifices, des vœux, des pactes, des dons, des offrandes etc. Nous n'en sommes pas à là … Rien de sert de s'excuser de quelque chose si c'est pour refaire la même chose une fois qu'on a été excusé.

 

Toutefois nos mains sont restent tendues vers vous, pour le moment, nous voulons bien laver les crachats que vous avez jetés à nos mains et passer à autre chose. C'est bien de pardonner, mais encore faudrait il que ceux qui sont censés être pardonnés cessent de snober et de réclamer des excuses à ceux qu'ils ont offensé, qu'ils mettent leur mauvaise foi dans un placard et soient un peu plus humbles que ça, et surtout qu'ils reconnaissent simplement qu'ils sont bel et bien les auteurs de tous les écrits récusés ici, y compris à grioo, pps, bonaberi.com et ailleurs. Et je compte apporter la preuve tangible que ces personnes sont et bel bien Dikobè, c'est important : A binyo, Bona Thomas !!!

 

Cela  légitimerait par conséquent notre réaction, on n'a pas besoin de demande de pardon, personne n'est Dieu parmi nous. Cela permettrait d'arrêter de nous faire passer par des « cancer, dégénérescents mentaux, ivrognes, sots, idiots,  têtes de mulle, malsains,  vivant dans la misère morale, mentale, psychique, psychologique et même spirituelle ; la médecine faisant pourtant des progrès»

Kangan, e nde sango dokita, ombwa te mba mo, tout permis.

 

 Sango docta Menessier : « les peuples ne sont là que pour se combattre » ( pps)

Mba ngon'a dibudu la Dual'a Mbèdi : quels peuples ? Le même peuple où des étrangers ? A quelle époque se situe t on ? La guerre anti Douala que mène les sawa a déjà apporté quoi de bon? Je n'ai  pas l'impression que c'est bénéfique à ces mêmes sawa.

Dikob'a bossambo itued'a muna mulimba : « Rita nous ne te demandons pas de réaction face à ce point de vue, mais une contribution positive. Moukata a écrit ce qu'il a écrit, tu vas faire quoi, exploser ? Va créer ton propre site ewale.com »

Ngomè Kanguè : « Peuplesawa loin de la prétentation à vous vouloir vous offrir une quelconque table de discussion  vous invite plutôt à vous fondre, vous et votre caractère malsain dans la consutation de ses rubriques: nous vous le proposons gratuitement. Alors...tout ceux ou celles qui ne se reconnaissent pas à travers ce site sont priés d´aller se faire voir AILLEURS. »

 

 

Violence  n'appelle que Violence, tu écris du négatif, tu demandes la réaction positive, or le résultat sera de toute façon négatif aussi. (  + х - = - ). Bah ouais que veux tu ? Mais bon, quand je regarde l'Europe et ses guerres, ça donne de l'espoir quand même. Mais l'Europe ne se construit pas en accablant sempiternellement une nation la composant.

 

 

Si par exemple il fallait que quand les Italiens disent  « nous sommes Italiens », on leur reprochait d'être contre l'Europe, comme si être Italiens empêchait de se sentir Européens, alors que quand les Français, Anglais, Irlandais, Portugais disent leur nationalité, tout est ok, je ne crois pas qu'à long terme le sentiment d'être européens primerait chez les italiens, puis qu'ils ressentiraient à juste titre, d'être européens au détriment d'être Italiens, et ce n'est pas correct.

 

Ce n'est pas comme ça qu'on fonde une nation solide. Je ne dis pas que les Italiens porteraient l'Italie pour aller l'isoler dans la mer, bien à l'écart, mais le dilemme qu'on leur impose, leur poussera à s'attacher plus à l'identité dont on veut les destituer. Le berger va à la recherche de la brebis égarée et lui consacre plus de temps et d'attention qu'à la brebis non égarée.

 

 

Non à la prise en ottage des Douala.

C'est la raison pour laquelle je ne renoncerais pour rien au monde à mon identité douala sous prétexte que je dois être sawa, comme si l'un empêchait l'autre, comprenez une fois pour toute, puisque vous voulez à tout prix que l'on choisisse.

 

Mis à part les nombreux emprunts à Hughe Mbèdi Ebonguè, Priso Ndedi, etc. Dikobè s'inspire énormenent des méthodes haineuses des occidentaux racistes, le style, l'image, l'auto-victimisation pour ne pas éveiller le sens critiques des autres, le dénigrement, la falsification, le jeu d'identité, l'hypocrisie, la lapidation, j'en passe.

 

On ne peut pas choisir de rester volontairement dans l'ignorance. Il est plus qu'important que les gens réalisent la haine que beaucoup de sawa, plus encore que les autres camerounais, déversent sans cesse sur les Douala. Vous ne pouvez pas continuer à fermer les yeux sur cette haine déchaînée, sans savoir où elle s'arrêtera, elle est assez flagrante pour ne pas la voir. Non à l'hypocrisie.

 

 

    

 

 

 

Mba ngon'a Duala Mbèdi. Etum tè na bèn no wèi, na mèndè jananè basingedi ba tumba lam.

 

 

Bonne lecture. Musango mwa mbalè mu bè na bona bam.



26/10/2006
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