BONA SAWA

BONA SAWA

Au delà des incidents critiques : un nouveau paradigme nous met en orbite

 A.N.Mpeke.

 

Au delà des incidents critiques : un nouveau paradigme nous met en orbite

 

Par A. N. Mpeke. Londres ce 29.04.2007

 

Il n' y a pas de doute que par delà les incidents critiques que nous créons s'émeut, une énergie du Grand Sawa nouveau. Cette énergie c'est cette capacité de réfléchir quoi que dans le manque de moyens techniques et parfois intellectuels immédiats, qui nous permettent de répondre à la complexité de notre contexte social, politique et culturel, et même économique, d'où ces crises quelques peu éprouvantes pour certains. Cette énergie c'est notre volonté de surpasser des concepts moyenâgeux qui nous empêchent d'avancer avec le monde contemporain qui mute continuellement. C'est notre intelligence quoi que, frelatée (parfois), parvient à nous offrir de quoi rebondir à la dernière minute.

 

Oui, nous revenons d'une longue période de fertilisation de notre pensée, après un débat, quoique houleux  et passionnant, mais marqué par une volonté commune de progresser et changer le cours de nos destins collectifs. Ceux qui n'en avaient pas l'habitude s'en sont allés la peine dans le cœur. Dommage, mais c'est le Grand Sawa Nouveau qui tire l'épingle du jeu. Car, c'est cette idée qui pousse à créer des incidents critiques, qui nous contraignent au recul et à la réflexion critique de nous même par apport à nos dires, écrits, faits et gestes. Cette pratique nous a forcé à avancer les uns vers les autres n'eut été les dissonances d'approches et de méthodologies. Heureusement que, le virtuel (Internet) nous aide a appliquer des principes de collaborations nouvelles par lesquelles nous canalisons cette même flamme et volonté de se libérer des concepts qui font de nous « des malades mentaux » et des condamnés  au sous développement. C'était le prix à payer, celui de se faire parfois douleur, afin que des attentions soient portées sur l'essentiel ou que certains claquent la

porte. 

 

Le dilemme c'est que dans le monde virtuel dans lequel nous évoluons aujourd'hui, certains ont cru brouiller les codes qui nous permettent de nous retrouver pour soutenir une entité menacée et déchiquetée et non simplement, nous divertir. Le drame c'est que nous ne nous connaissions que peut ou point. Le temps faisant, la force majeur, l'intelligence qui fait mouvoir la vie et les choses, nous habite pour que nous soyons une partie du monde et non en dehors.

 

 

Dispersé dans le monde tels que nous sommes aujourd'hui, il est plus qu'important que nous regenerons des moyens qui nous permettent de conserver ce que nous sommes en tant qu'entité, micro organe d'un ensemble qui se veut désormais universel, le Coafrwo, entendez par là, le Monde Africain Contemporain, dont A. N. Mpeke est le précurseur. Ce nouveau concept instigue la création d'un nouveau sujet d'étude du Monde Africain Contemporain, la Coafrwologie, qui s'inspire des travaux de nos prédécesseurs et contemporains Africalogistes (afro centristes) illuminée par les travaux des chercheurs tels que S. Cornish et J. B. Rushwurm (1827), W. E. DuBois (1965),1970) Edward Blyden (1869), Frederick Douglas (1967), John Jackson (1974), Deleney (1978), C.A Winters (1985, 1989.1991, 1994), Leo Hansberry (1981) sans oublier les existentialistes afro centristes emmené par Marcus Garvey(1966), Cheikh Anta Diop (1974,1991) et A.A. Schomburg (1979), Aimé Césaire (1981) et bien évidemment l'école des progressistes emmenés avec panache par le non moins prolifique Molefi Kete (1991), mais aussi le nouveau courant des afrocentristes coafrwologistes stimulé par les travaux de Andrew. A. Alpers (2001), Paul Gilroy (1987, 1994, 2002, 2000, 2004), Kimani Nehusi (2003), pour ne citer que ceux-la. Le nouveau courant qu'est la Cofrwologie développer par A. N. Mpeke  développe une philosophie basée sur une approche plus holistique, humaniste et universelle de la reconnaissance du monde contemporain Africain dans son étendu et sa complexité comme étant une partie, un organe vivant du monde et qui contribue a son évolution et de ce point de vue se doit d'être considéré comme faisant partie du monde et non en marge du monde. Mieux, elle renforce les objectifs du mouvement politico-économique  développer par le président Sud Africain Thabo Mbeki (1998 ; 2003) sur la notion d'une nouvelle gouvernance dans les pays du Continent et une volonté politique économique et culturel d'élaborer un pont avec le monde Africain établi outre atlantique (Coafrwo).  Mais aussi et surtout elle appelle a l'émergence  d'une entité Africaine contemporaine universelle regroupant tous les descendants Africains dans les environnements ou ils sont établis au cour des siècles et années.

Le Coafrwo et la coafrwologie émergent donc du débat sur la définition de « la diaspora africaine » ou on a vu la rejection du concept « diaspora » pour définir l'expérience Africaine outre atlantique par certains chercheurs et universitaires américains. C'est Edward A. Alpers (2001) qui, par sa définition de la diaspora africain, facilitera la gestation de ce nouveau paradigme ; tout comme les travaux des charismatiques Paul Gilroy, Nehusi Kimani, pour  ne citer que ceux là, pour le catapulter et le soutenir sous la direction d' A. N. Mpeke qui en est le promoteur par ses travaux d'explorations dans divers disciplines allant des Sciences de l'éducation à celle des communautés passant par l' anthropologie, l'histoire, la psychotherapie, les beaux Arts, l'ethnographie et ethnologie, sans oublier les Sciences des medias et de culture tout comme les sciences sociales… à l'Université de l'Est de Londres où il est professeur et étudiant (en cycle de Doctorat). Il  développe en ce moment un programme d'étude Africain qu'il compte proposer aux Universités Africaines et Caribeennes, axée sur la notion de la Coafrwologie.  

 

Entendez par Coafrwo l'identification et la reconnaissance des communautés Africaines et des ses descendants dans le monde autour de la notion de rencontre socio culturelle et spirituelle en vue du renforcement des liens entre descendants Africains.  Alors que la Coafrwologie se veut être une étude contemporaine et complémentaire aux études sur le monde Africain contemporain en application avec des sujets d'études et sciences modernes, exposant des théories, approches, stratégies susceptibles d'accélérer le processus de compréhension et de développement du Monde Contemporain Africain aussi désormais, Coafrwo. Le /la coafrwologiste sont des Africains et Africaines et descendants (es) directs ou indirects  d'Africains(es) se reconnaissants ainsi et se voulant contribuer au développement de la communauté Africaine dans le pays ou il/elle se sont établis (es) par l'exploitation de toutes formes de sujets d' études et sciences théories, approches, méthodes ou stratégies susceptible de d'accélérer le développement du Coafrwo et faire ainsi avancer la coafrwologie en tant que sujet d'étude nouvelle a proposer comme module ou programme universitaire dans l'ordre des études Africains dans le monde.

 

Ainsi, la coafrwologie se doit d'être étudier en relation avec par exemple la  religion/spiritualité, l'histoire, la généalogie, la philosophie, la politique, la socio ethnologie, l'éducation, l'anthropologie, les sciences des communautés, l'économie, l'Art dans tous ses etats, les nouvelles technologies et autres formes scientifiques et d'autres, avec en esprit la notion de reconnaissance, acceptance et d'inconditionnelle perception des espaces sociaux universels ou se sont établis les descendants Africains et la promotion de leur développement. 

 

Le Grand Sawa dans le mouvement Coafrwo et la  Coafrwologie

Le Grand Sawa est un micro organe Coafrwologique enrichie par les travaux Africalogiques du Prince Dika Akwa, sur la reconstruction de nos identités ethniques linguistiques et originelles, qui nous conduisent aux vallées du Nil en Egypte. Cette approche est aujourd'hui développée et promue par A. N. Mpeke dans la perspective des travaux en cours de la coafrwologie. Ceci n'est que pour ce qui concerne l'entité du Grand Sawa. D'autres noms étofferont cette liste en ce qui est du contexte du Cameroun plus élargie et du continent africain. Mais retenons ici que les travaux de l'honorable Dika Akwa restent ceux qui ont fait avancer une certaine idée de nous même en reconstituant nos origines proches et lointaines en partant de la ou nous nous sommes établis. La coafrwologie de Mpeke puise une grande partie de sa methodologie et même sa philosophie ici. Elle se traduit par une logique de recomposition, restitution et de développement à partir de micro organes sociaux que sont nos familles, nos communautés, nos peuples et enfin ces nouvelles « nations imaginees/virtuelles». Entendez par la, les nouveaux groupes sociaux en lignes que nous crayons pour préserver nos identités Africaines ou alors nous en réapproprier, dans des sociétés occidentales ou nous vivons meurtris par le nationalisme, le racisme et la marginalisation.

 

Le Grand Sawa Nouveau se doit donc, théoriquement d'épouser l'approche globale Coafrwologique instiguee par A. N. Mpeke sur l'idée de la création d'un monde virtuel ou imaginaire Contemporain Africain, Coafrwo, structuré sur une étude, la coafrwologie axée sur le développement de l'idée d'une entité Africaine mondiale qui se doit de se développer en échangeant entre elles et avec le reste du monde, mais aussi en prônant un certaine nouvelle humanité dont certains frères et soeurs Coafrwlogistes ici même dans cette plate forme font allusion mais sans articuler à mon avis avec plus de pugnacité et de conviction, comme le font par exemple l' Africain-britanique, Paul Gill Roy ou encore A. N. Mpeke, Nehusi Kimani. (Vous direz et avec raison qu'a chacun son tempérament).

 

La question qui se pose c'est de savoir comment chaque communauté contemporaine Africaine s'identifie, se définie et se projette dans l'avenir. Le cas du Grand Sawa, n'est qu'un exemple, d'autant plus que le monde Contemporain Africain se veut réunir par l'exploration de ses origines, toutes tribus ou ethnies, communautés ou vivent des descendants africains. 

 

Grâce à la Coafrwology, nous devons, dans nos retranchements voir le monde dans lequel nous appartenons comme ci il ne se limitait pas, qu'a l'horizon que nous scrutons au crépuscule par la baie du Wouri ou alors l'immensité de la mer et l'océan  atlantique ou par la cote Kribienne, ni moins encore nos frontières régionales et forestières. Nous devons nous inscrire dans la logique de la génération d'un monde, une nation, une entité imaginée ou virtuelle. Ceci pour que nous ne soyons pas en totale voie de disparition engloutie  ou encore absorbé dans les concepts occidentaux qui visent à préserver l'hégémonie des neo-liberalistes. Pour cela nous devons nous ouvrir aux communautés du Monde Contemporain Africain, Coafrwo.  Bien évidemment qui se définissent comme descendants Africains et qui épousent les valeurs fondamentales de la coafrwologie qui sont la reconnaissance, l'identification, le respect mutuel et la  positive perception des uns et des autres, la volonté d'échanger et d'appartenir a une seule entité universelle qui est le Monde Africain Contemporain, plus ou moins l'équivalent de terme « diaspora » pour la communauté juive du monde. La coafrwologie ne se définit pas qu'à partir des traites negrieres Arabes et occidentales, les colonisations et encore moins les deux grandes guerres. Elle remonte plus loin jusqu' au  berceau de notre civilisation en Egypte, elle va jusqu' au moyen orient en Asie etc....

Le peuple Batanga comme un autre exemple, est un micro organe du Grand Sawa, qui est lui-même un  organe du Coafrwo, le Monde Contemporain Africain. Pareil pour les entités Bulu, Bamilékés et autres inscrit dans la logique de cette nouvelle solidarité inter -africaine et  outre mer.

 

A travers nos blogs et sites internets communautaires : Jetons les bases d'une nouvelle solidarite.

Nous devons  nous mettre au delà des considérations futiles, afin ainsi de transcender ce que des esprits étroits considèrent comme insurpassables, inchangeables, inaltérables... Nous devons faire montre d'abnégation devant l'inutile et extraire l'essentiel de nos différences, pour élaborer des approches qui nous sortent de nos impasses : notre capital sous développement matériel et intellectuel, au lieu de nous embourber dans des concepts qui sonnent essouffle a peine dispache.  Ceci, car des conceptions ficellees a la va-vite par mimétisme,  sans tenir compte d'une projection qui tiens en considération une reflexion critique de nous même. Le congénère Dikobe Metusala n'a-t-il pas fait remarquer que le Grand Sawa existe et qu'il ne manque que des hommes et femmes pour le porter afin qu'il ne soit pas que la risée des peuples voisins mais l'exemple, car propulse par un élan nouveau qui fait qu'il perdure dans le temps au delà de toutes attaques et atteintes a sa dignité. Le Grand Sawa ne se fera respecter que si des voix dans le Monde Contemporain Africain comme celle de A. N. Mpeke depuis l'outre atlantique, rappelle que nous sommes un peuple riche, un peuple phare, fer de lance d'un paradigme Africain nouveau. Nous devons être fier de nous même, car de notre capital  spirituel/religieux, culturel et environnemental en souffrance se sont ériges des icônes qui illuminent le monde par leur talent, personnalité irréprochable, une sensibilité authentique portee par exemple par notre congénère Richard Bona.  

 

Nous devons nous ouvrir aux autres membres du monde Contemporain Africain par des rapports de partenariat sociopolitique économique, culturel, humanitaire…établis en toute équité et dans le strict respect des valeurs essentielles de la coafrwologie. Elle se veut tolérante, mais ne perdons pas de vue que nous ne pouvons pas tout tolérer, cependant avoir les moyens d'éduquer pour faciliter le changement, mais pas les conversions dogmatiques. Encore faut t-il que nous voyons nos différences comme des atouts et non des défauts. Oui, des atouts majeurs qui nous font avancer comme c'est le cas a présent en prenant des résolutions qui marquent positivement notre volonté de donner au monde contemporain Africain et a l'univers l'opportunité de découvrir un espace ou se crée une nouvelle solidarité Africaine contemporaine par le lien coafrwologique que nous avons généré de part l'intelligence collective de notre monde Africain.

 

C'est d'abord la reconnaissance et l'appréciation du travail fait dans nos organes d'information que sont nos sites internets animés avec passion et persévérance par nos congénères habiles en la matière, en la personne de Mutesala Dikobe, (pour l'esthétique et la technique) sans oublier l'apport en contenu des chers A. N. Mpeke, Menessier Ngalle, Rita Diboussi Ngando, Robert Manjombe, le travail à l'ombre de Ngome Kome patrice, Priso Ndedi Laurence, Mbedi Hugues, Mutonde Mboma… et bien d'autres qui se sont exprimés hors ligne (emails et téléphone) et qui ont d'une manière ou d'une autre faciliter l'éclosion de ce nouveau paradigme universel nouveau. C'est aussi la reconnaissance de nos contemporains en les citant dans nos articles afin de les associer à notre réflexion qu'ils ont illuminé d'une manière ou d'une autre. C'est à mon avis fondamental qu'on pérennise notre réflexion collective en la reliant à ces géniteurs et ainsi créer le lien avec les différents courants de pensées du Monde Africain Contemporain en évoquant entre la sagesse que nous a légué notre leader spirituel, le maître Dika Akwa.

 

C'est bien évidemment du Grand Sawa que vous étés invite à redynamiser, sous l'égide du coafrwo et de l'étude/exploration de la coafrwologie. Devant nos identités qui se perdent, nous devons faciliter notre regeneration afin que le monde contemporain africain soit une seule entité, entre les cinq continents ou vivent des Africains et Africaines, avec lesquels nous devons recréer un nouvel axe d'échanges pour notre survie dans tous les aspects possibles. C'est donc avec raison que le congénère Metusala Dikobè suggère l'adoption du Grand Sawa comme notre dénominateur commun et le Nyambeisme comme notre religion ou mouvement spirituel. Cette proposition entre dans le cadre des futures travaux coafrwologiques qui visent à promouvoir le culte de nos ancêtres (le Nyambeisme prôné jadis par le maître Dika Akwa et d'autres tendances afro centristes) dans un contexte contemporain synthétise par A. N. Mpeke avec la Coafrwologie.

 

Les récentes guerres dites religieuses en Afghanistan et en Irak nous rappelle qu'un nouveau monde est en développement. Notre drame a nous Contemporain Africains, c'est de n'avoir plus ou pas de religion ni moins de spiritualité propre à nous. Ce manque est en passe d'être comblé grâce à la pulsion du mouvement que nous mettons en place à partir de cet espace. La naissance d'une nouvelle religion Africaine ou d'un mouvement spirituel africain influencé à l'échelle planétaire par un paradigme comme la coafrwologie a l'image du Nyambeisme par exemple, ne serait que justice. Bien sure que dans un contexte comme celui du Grand Sawa, le Nyambeime est une voie par excellence qui s'arrime à la philosophie même de la coafrwologie.

 

Que cet espace social en ligne soit le lieu d'incubation d'idées toujours ambitieuses et objectives qui contribuent au développement d'une nouvelle humanité. La Coafrwologie tout comme n'importe quel autre concept ou paradigme ne subsisteront jamais, que si nous les associations a leur géniteur et a leur promoteur. N'oublions pas non plus que c'est un produit qui n'appartient pas qu'a son créateur mais a une entité, une intelligence collective et universelle. Voici donc un paradigme qui nous remet sur une nouvelle recherche de redéfinition de nous même en ce 21 me siècle. C'est notre contribution pour faire avancer l'humanité et enfin répondre à quelques problèmes fondamentaux qui minent notre épanouissement.

 

Nous devons établir un cadre de développement et d'exploitation théorique  de la Caofrwologie par apport en prime  abord au Grand Sawa Nouveau que nous nous devons de promouvoir et préparer pour les rencontres historiques avec les autres entités du monde Africain Contemporain, Coafrwo. La coafrwologie nous invite donc  à appliquer son premier principe philosophique et spirituel de base. Celui-ci s'articule sous  la reconnaissance de tous et toutes personnes descendantes Africains/es se reconnaissants (es) coafrwologistes ou s'identifiant aux valeurs Coafrwologique de respect mutuel de reconnaissance et d'inconditionnel et positive perception des uns et des autres. Il ne remet pas en cause la différence ethnique, tribale, de la couleur, du genre, de la religion…Il vise de prime a bord a l' accélération du développement du monde contemporain africain, coafrwo par son étude, la coafrwologie. /.

Pour plus d'information à propos mouvement coafrwologique ouvrir le lien ci-dessous.

 

www.myspace.com/coafrwo

 

Références:

 

N.B: Prière de nous contacter pour reference Bibliographique.

 



01/05/2007
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