BONA SAWA

BONA SAWA

CES SAWA SONT T-ILS SERIEUX?

NOUS NE SERONS PAS UNE ENTITE FORTE AVEC DES LEADERS  AUTOPROCLAMMES.

 

 

 

Mpeke Mu Ntonga, ce 17. 06.2006

 

 

« Pou vivre cette transfiguration qui va marquer à coup sur la consécration de ce merveilleux outil il me semble en ma qualité d'enfant sawa et  au nom des responsabilités que vous m'attribuez désormais d indiquer quelques voyelles urgentes que nous devions apprendre à prononcer pour contenir tous les effets d'un tel avènement » Paul MENESSIER Ngalle (2006)

 

Nous voici donc, devant le comble du simulacre. En ces jours nouveaux, avec les outils de la modernité dont nous avons le privilège de nous servir; voici l'occasion pour ceux qui ont étudié et étudent encore les Sciences sociales et qui sont restés attachés a leurs valeurs séculaires, mon propos de Sawa qui ne manie pas la langue de bois. La citation ci-dessus mentionnée est un extrait  de la feuille de route du Dr Menessier Ngalle dans PPS.com. Je vous en laisse l'analyse.

 

Je ne parle pas parce que je me prends pour un leader ou un initiateur. Loin de là. J'ai simplement, comme beaucoup une raison qui me pousse à mener cette lutte noble. Je ne m'arrogerai jamais non plus  ces titres si mon peuple ou nos assemblées ne me les donne . Avant la démocratie occidentale, nos peuples avaient des moyens de choisir ses leaders. Ces moyens sont certes dépassés aujourd'hui, c'est pourquoi ensemble, je crois que nous devons trouver une nouvelle approche de sélection ou de nomination de nos leaders. Cela me semble d'autant plus important, pour expliquer cet article. Pour l'entité que nous sommes entrain de mettre sur pied, je suis persuadé que nous devons être sérieux avec nous même d'abord et avec les autres par après. Je ne veux pas dire honnête.

 

J'ai fait le tour de certains sites internets et blogs Sawa. J'y ai rencontré des feuilles de routes, des revirements et louanges exagérées de certains, sur les plates formes qu'ils ont choisi pour se faire entendre ou découvrir et aduler. Si cela flatte leur Etre et ego, je dis tant mieux. Mais, cela n'est pas de mon goût quand cela triche avec le nom de toute une entité composée d'hommes et de femmes Basa, Douala, Batanga, Balimba, Bakweri, Pongo, Bakaka, Bakoko, Bandem, Aboo, Mboo, Ewodi, j'en passe et d'autres.

 

Ces peuples, sont ce que nous autres faisons l'effort de rapprocher afin de reconstruire une entité forte et solidaire qui défendra les intérêts de nos peuples. Ces peuples, ont des leaders, Dieu seul sait intelligents et aguerris. Dieu seul aussi sait, qu'ils ne se sont pas fait instruire pour après suivre des leaders qui s'autoproclament  au nom de la république, mais qui ignorent les principes élémentaires de démocratie républicaine, si celle-ci est leur credo comme je le constate. Il ne suffit pas de chanter républicain pour l'être, et se faire nommer leader ou directeur de communication d'une site internet communautaire qui se veut regrouper plus d'un peuple Sawa. Nous Sawa, de Bona Sawa ne faisons pas avec ces méthodes là et vous convions à en faire pareil.  Nous ne sommes pas ceux qui siégerons sur une table ou plate -forme virtuelle qui se veut être table de débat Sawa avec ce type de procédé anti-social. Seulement, au lieu de s'enfermer dans le silence, disons pourquoi, nous ne participerons pas à des débats faux, allumés sur des sites internets qui ne sont pas Sawa, et qui prônent la haine entre Sawa au profit des intérêts des Bamilékéistes et de quelques assoiffes de réputation et de leadership.

 

Certains se taillent des responsabilités en ligne qu'ils vous attribuent puis nous font croire que nous les avons choisi sans que vous et nous sachions ou et quand cela a été scellé ; si ce n'est comme d'habitude entre des e-mails et des messes basses qui dénoncent des alliances intéressées ou d'aucuns à la limite supplie pour être embarqué dans l'équipe dirigeante du Bam's. Je suis allé a l'école étudier les Sciences des Communautés, et la psychothérapie, comme certains ont choisis d'aller étudier du droit, de l'informatique et que sais-je encore. Je passe mon temps à analyser et étudier les politiques et les stratégies de développement des communautés.

 

Je ne veux pas être comme ces intellectuels africains qui arrivent dans des forums, lisent des inepties contre eux-mêmes et en prennent le plaisir, car leurs intentions ne sont pas dans la réparation de ce qui ne l'est pas. Je ne veux pas, pour avoir écrit un ou deux articles ou encore des feuilles de route qui sonnent comme des leçons de civisme à des élevés de classe élémentaire, me passer pour un initiateur ou leader. Je me veux être un stimulateur des forces vives  de chaque peuple Sawa. Ca veut dire favoriser le processus d'équilibre en chacun  afin que chacun soit libre et maître de lui-même et de sa communauté pour y apporter plus de créativité et d'effectivité née de cette même liberté. C'est ça ma mission pour le moment. Je ne suis pas pour des discours soporifiques et attendre des ovations.

 

Nous devons nous soutenir dans l'effort certes, ce n'est qu'a ce titre que je prends volontiers vos encouragements qui ne doivent pas déborder la limite du raisonnable. Nous devons être honnête avec nous même dans notre soutien avec les uns les autres. Ne faisons pas comme ceux qui se soutiennent parce qu'ils ou elles connaissent un tel ou une telle. On fini par se tenir par la barbe et neutraliser toutes formes de dynamisations et de collaborations. Ici nous apprécions ce qui est juste et bon pour nous permettre d'affronter les réalités de notre temps. Certains parlent de futurisme alors que notre présent est à faire. Leur présent n'est pas le notre, il est totalement différent certes pour s'être laissé emmailloter avec des groupes qui détiennent le nerf de la guerre et qui le cultivent pour leur seule fin. Je ne veux interdire a personne de se projeter sur un avenir quelconque, mais que serait cet avenir si le présent ne le définit pas?

 

L'enfantillage pour moi, c'est cette exaltation abusive pour un site Internet ou certains prennent le plaisir de déverser des injures, insérer des polémiques tribalistiques et des revirements qui riment et confirment le simulacre. Je veux dire la comédie.

 

Je fais confiance en la maturité des Sawa qui ne mangent pas de ces hallebardes là en ces jours de révolution des technologies nouvelles. Je fais confiance aux Sawa qui disent leur peine, leurs émotions. Je sais qu'il existe des Sawa qui se sont embourgeoisés au contact et en pactisant avec  les Bamilékéistes et les occidentaux et qui, aujourd'hui sont contraints de soutenir leurs ignobles idéologies et nous passent pour des tribalistes. Faut-t-il une photo pour comprendre qui ils sont ? Ils voient des tribalistes partout, quand on défend une nation qui est en voie d'explosion. Nos leaders du dimanche, lâches comme on les connaît et prompts à aller raser les murs en sourdine pour pas que personne ne s'en appercoive, serinent les peuples avec des feuilles de route sans objet. Comme s'ils s'étaient persuadés qu'ils sont vraiment des leaders virtuels et que nous les suivions dans leur voyage vers leurs propres aboutissements pour ne pas dire leur désenchantement.

 

Heureusement, ou malheureusement, nous sommes pour beaucoup mis au crible sur internet. Il faut y passer ou se taire. A lire tous ces écrits qui n'ont l'air que d'opium, je dis que nos peuples n'ont pas besoin de ça  a nouveau. C'est pourquoi, nous avons dit ouvertement et avec courage, halte ! Nous descendants Douala, Batanga, Ewodi, Bakweri ne voulons plus de ces leaders du dimanche qui nous prennent pour des gondoles. Nous ne voulons plus de cette malhonnêteté intellectuelle, ces articles qui nous font penser à Ebenezer Njo Mouelle. Nos peuples ne brillent plus que par ces idéologues qui se passent pour Républicain qui ne capitalisent que pour eux même, en se servant du peuple. Avec Internet, nous avons les moyens de les mettre à nu. C'est de cette façon qu'on change les choses non pas en se caressant au sens du poil  et acceptant des discours pompeux qui donnent l'impression que quelques concepts joliment décrits y ont valeur de paroles d'évangile. On a connu ça et malheureusement certains ont cru que cette formule fait toujours recette. Dommage pour ces frères et sœurs Sawa, qui ont cru qu'être éduqué voulait dire aller abuser sa famille, et son peuple et sa communauté même virtuellement. La preuve la voici, nos autos proclamés leaders du dimanche sur internet. Ils lisent des inepties tribalistes entre Sawa et Sawa et se muent dans le silence pour venir dire des inepties ambivalentes et indécises plu tard.

 

Si c'est ça la Sawanité, elle ne tardera pas être dérisoire comme le sont déjà certaines de nos organisations pourries par ces mêmes recettes. « Parce qu'on n'a pas d'argent laissons contribuer des intrus dans nos activités collectives….». J'ai entendu cette phrase depuis mon tendre jeune âge et aujourd'hui, je l'entends encore de la bouche d'un Sawa à la fleur de l'age, que je croyais avoir compris. Hélas, il est englué dans de vieux clichés que nous combattons. Nous n'aurons jamais assez d'argent pour reconstruire un nouveau site internet. Au moins nous sommes informés et éduques pour réaliser que des moyens palliatifs à nos manquements d'argent pour avoir des sites internets personnalisés existent au lieu d'aller faire de la mendicité au nom du beau chez les Bamilékéistes. Nous ne  vendons rien aux Sawa ici, nous nous exprimons et dénonçons ce qui doit l'être tout simplement. Les intentions des uns et des autres, Dieu merci se lisent très bien dans leurs démarches. La Sawanite fait peur si elle est girouette. Si elle n'est pas décisive ni moins déterminee. Si elle est comme un flotteur qui va au gré des marrées. Si elle est comme un caméléon…

 

Nous avons un blog, un espace social en ligne, en attendant que nous ayons nos assises qui scelleront la création d'une organisation non gouvernementale internationale qui dirigera nos actions.

 

J'ai tenu à ce que nous y démontrions une approche, une méthode si vous voulez. Non pas des autoproclamassions qui sonnent corruption et par conséquent fausses dès le départ.

 

Ici dans Bona Sawa, nous ne faisons pas de la « diplomatie » ou du « républicanisme ». Nous sommes simplement des Sawa, qui n'ont pour ambition que de se regrouper et vivre ensemble en harmonie et défendre nos intérêts quand ceux-ci sont en danger. Il se trouve que nos intérêts sont menaces au Cameroun, devons nous nous taire sous peine d'être tribalistes ou intolérants? Se taisent nos grands juristes ou homme de droit et politiques Sawa quand ils convoitent et veulent manger sur tous les râteliers, utilisent la langue de bois. Et on se demande pourquoi notre peuple devient de plus en plus si pauvre même intellectuellement. Le mythe du diplôme Camerounais se meurt avec le comportement de certains des nôtres qui ne savent pas faire la différence entre leurs études et la réalité de nos peuples.

 

Nous, dans Bona Sawa, nous ne sommes pas des experts, des initiateurs. Simplement, quand nous réagissons, n'en déplaise a certains, c'est la fibre qui nous relit tous qui se met en branle. Quand cette fibre commencera à bouger en vous, vous comprendrez alors pourquoi, nous devons plus que jamais, nous parler pour trouver des solutions à nos problèmes communs.   

 

Nous n'avons pas besoin de petites stratégies de communication sans essence pour être à nouveau une entité commune. Ce dont nous tenons a  être c'est simplement, des hommes et femmes Sawa honnêtes, avec de l'estime pour les uns les autres, le soutien dans l'effort entre Sawa et amis des Sawa, respectueux des intérêts et valeurs de la république, respectueux des autres tribus Sawa et tribus amis Sawa qui ont de la considération pour nos valeurs culturelles et modernes. Nous ne nous autoproclamons pas leaders ou initiateurs dans Bona Sawa. Respectueux des valeurs républicaines, et de la démocratie, nous nous concertons et essayons d'informer le plus de Sawa possible. Pour nous, l'idéal, n'est pas d'avoir un beau site Internet qui nous vend des girouettes et leaders du dimanche ou encore des apprentis tribalistes qui veulent de l'audimat. Soyons un peu serieux, qui n'a pas compris toute cette farce que nous avons débusqué et démonté avec nos articles qui en quelques mots ont mis la panique et donner l'occasion de découvrir alors ce que Ngando Diboussi Rita décriait inlassablement?  

 

Nous ne voulons pas être ces leaders qui s'arriment à des revendications, qu'ils n'ont pas pu voir, ou ont laissé passer par laxisme, puis s'éclipsent pour aller négocier tout seul pour leur propre intérêt, ignorant le travail et le courage de ceux qui pavent les voies difficiles, (et que d'autres viennent y  marcher avec des concepts sans essences). Ils peuvent se faire passer pour qui ils veulent, malheureusement, ils nous croiseront sur leur passage avec toute notre détermination et notre hargne, pour leur dire qu'on en a mare de ces lâchetés et pauvres méthodes qui nous font tourner en rond.

 

Ils n'ont pas encore crié A Bona Bam, ou Mboa, pour implorer la pitié pendant qu'ils se sentent démasqués. La Sawanité ne saurait se définir  sans l'apport non seulement descriptive des caractères d'un peuple  Sawa, mais en créant un esprit collectif dont les maîtres mots doivent être axé sur l'hospitalité, le partage, la solidarité, le développement collectif, la célébration de nos cultures et différences. Non pas cette sawanité qui ne dégage que le parfum d'une seule tribu que certains veulent s'approprier comme le cheval de bataille qu'ils ne sont même pas en mesure de mener tout seul comme ils le croient. J'ai cru qu'il fallait renforcer la reconstruction de cette Sawanité, en y apportant mon soutien. Hélas, parfois, il ne faut pas se fier aux discours. L'habit parfois ne fait pas le moine. La preuve, beaucoup la connaisse.

 

La Sawanité doit s'élaborer avec toutes les tendances culturelles, ethniques Sawa faute de quoi, elle ne l'est pas. L'effort que nous devons faire est de réfléchir chacun avec en notion son peuple pour compléter cette Sawanité qui, pour le moment ne fait que dans la description de quelques traits de caractères qui ne sauraient s'attribuer à tous les Sawa, quoi que écrite avec un accent plutôt passionnel qu'objectif. Nous voulons d'une Sawanité qui ne fait pas que dans l'adulation ou le besoin d'adulation car elle est elle-même décrite de cette façon. Le risque serait de s'enfermer dans cette logique d'adulation qui nous fera perdre de vue l'essentiel. La preuve, elle invite des adulateurs et adulatrices.

 

La Sawanité, je veux simplement la sentir avec un bout réel de chaque peuple Sawa. C'est pourquoi, nous devons travailler, travailler d'avantage et ensemble. Avoir le courage d'aller vers les autres tendances Sawa, avec un langage d'humilité, de respect et la volonté de construire une entité forte. Notre drame c'est la perte de la notion d'hospitalité entre nous Sawa, d'abord. La notion de respect entre Sawa, d'estime et d'encouragement inconditionnel entre Sawa.   Nous devons faire revivre ces valeurs séculaires que nous perdons. Entre Sawa, soyons hospitaliers, c'est pourquoi dans cet espace, nous voulons que vous vous sentiez en bonne compagnie. Nous devons avoir de l'estime, le respect entre nous Sawa. Nous devons inconditionnellement nous soutenir devant toutes épreuves difficiles de la vie. Nous devons partager nos joies et célébrer ensemble nos cultures. 

 

C'est a cela que j'invite les uns et les autres a réfléchir. Notre Sawanité ne doit pas se proclamer sur les toits ou sur les medias du monde entier, alors qu'elle est un concept incomplet qui ne saurait se construire sur Internet dans des sites Bamilékéistes. Lobe' a Lobe a dit clairement que nous devons travailler  avec discrétion autrement, dit nous ne devons pas mettre en marche les arcanes qui définissent notre démarche au grand public. Mais comme au temps de nos ancêtres hors des yeux de nos détracteurs qui regardent attentivement. La notion Sawa nous tient tous à cœur pour qu'elle soit ventiler comme un effet de mode sur Internet, et qu'elle s'essouffle d'ici peu sans même avoir dit réellement ce qu'elle est et faute d'intervenant à sa construction puisque son chantre ne saurait être a lui tout seul Bassa, Douala, Batanga, Aboo, Ewodi, Bakweri, Bakoko et autres, je dis arrêtons nous de faire de la surenchère alors qu'il y a plus serieux a faire, et prendre les gens pour des incultes. Dépassons les petites descriptions qui n'ont pour objet que de nous flatter l'ego.  Soyons la Sawanité au lieu de la chanter.

 

C'est pourquoi, nous autres avons pris une autre option. Ou alors en avons été contraint. Nous ne voulons pas être associé à cette Sawanité du dimanche qui va être la risée de ceux qui l'ont propulsé sans en avoir pris le soin de lui donner une essence convenable. Je ne suis pas pour les mimétismes médiatiques (uniformisées), « feuille de route » « pacte de ceci et cela ». Adaptons à nos problèmes des solutions effectives. Sortons des schémas déjà tracés pour eviter de les reproduire avec nos problèmes qui sont de toutes autres natures.

 

Dans Bona Sawa, nous préférons écouter les Sawa. Nous n'avons pas de leçons à leur donner mais des éléments qui stimulent la transformation intérieure de chacun pour des Sawa plus avérés et plus compétents. Nous ne voulons pas lire des hallebardes et des discours vides. Nous devons favoriser l'expression et non la séquestration de celle-ci,  pour que seuls, quelques voix de leaders se  fassent entendre sous des feuilles de routes et formules de communication pour servir leurs seuls intérêts.

 

Je dis une fois de plus, parole au peuple. Ecoutons, écoutons nos peuples et communautés. Dans Bona Sawa, vous avez la parole ; c'est pourquoi cet espace a été crée. Le manquement à cette démarche doit être vu comme une fausse approche à la reconstruction de notre entité commune.

 

Dialoguons, sans verser dans les injures. Dialoguons entre Sawa. Même quand nous ne sommes pas d'accord, célébrons nos différences et nos cultures car, un Basa ne sera jamais Douala ou Batanga et vise versa, pareil avec les autres peuples Sawa. Au moins, nous pouvons transcender cet état de chose en étant Sawa: Une entité  ou nous devons d'être inconditionnellement solidaire. Une entité forte qui doit être la nouvelle force de redynamisation de nos élans collectifs. Moi, je me sents fort de vous savoir soutenir notre projet collectif. A vous tous qui oeuvrez dans l'ombre pour l'éclosion de notre projet commun, je souhaite que la force de nos ancêtres Sawa vous revigore a la seule idée d'eux, là où vous étés. Brillez et illuminez l'obscurité là où vous êtes. Je me sens fort et fier de vous savoir présent dans notre projet, surtout présent dans nos débats. Sentez vous  fier de faire partie d'un réseau de Sawa en ligne dont nous sommes les piliers. Nous savons qu'il existe d'autres Sawa comme vous, nantis de cet amour de notre fief et de la patrie.  Qu'ils n'hésitent pas de se joindre à nous. Les injures et reproches à peines voilées de certains ne nous feront pas reculer, elles nous font  lutter de maniere plus déterminés.

 

N'oubliez pas que les seuls maîtres mots doivent être axé sur l'hosipitalité, le partage, la solidarité, le développement collectif, la collaboration, la célébration de nos cultures et différences l'estime de l'autre, le soutien dans l'effort, le respect de l'autre, l'inclusion et la volonté du développement et d'être ensemble comme membre d'une même entité commune. Sans condition, soyons des Sawa solidaires des uns et des autres, partout où nous sommes.

 

Sawanellement,

 

A bientôt

 

 

 

 



18/06/2006
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